Catégories : Rencontres ABDL-infantilisme-diaper lover
il y a 7 ans
Je m'appelle Solène, je remplace au pied levé Salomé ma meilleure amie pour être baby sitter toute la semaine prochaine dans une famille que je ne connais pas pendant les vacances de février. Je pars pour la première fois en dehors chez moi. A la maison c'est « les études d'abord » impossible de sortir si les notes ne sont pas excellentes. Là, incroyable ma mère qui connait la mère de Salomé a tout de suite accepté que je remplace Salomé clouée au lit avec une angine. Une semaine à la montagne, c'est cool, en plus payée, je n'arrive pas à le croire !
J'arrive au rendez vous, comme convenu, et m'engouffre dans un break familial. J'atterris sur la banquette arrière au milieu de deux grands enfants adorables. Le père a rangé mon sac dans le coffre. Sandrine, la mère, d'emblée me semble attentionnée. Elle me présente les enfants, Antoine et Zoé, la plus grande. Je suis contente de les retrouver car je commençais à me geler à les attendre en mini jupe écossaise en plein hiver malgré mes chaussettes hautes en laine gris clair. En plus j'avais couru, j'étais morte de soif.
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Solène, réchauffez vous, mettez vous à votre aise, voilà une bouteille d'eau. Je vais avoir besoin de vous pour m'aider avec mes deux enfants. Occupez vous en premier d'Antoine. Merci de le mettre en pyjama pour qu'il puisse dormir dans la voiture jusqu'au chalet.
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Mais il est 17h, dis je en finissant la bouteille d'eau, vous voulez que je le déshabille ?
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Oui aidez le à enlever sa culotte, son col roulé et son aussi slip, vous pouvez lui laisser ses chaussettes.
Je m'exécute commençant à aider Antoine à enlever culotte et slip. Je sens la mère me tendre un objet mou dans mon dos, je me retourne et aperçoit ahurie une couche. Le père est concentré par sa conduite au milieu d'un trafic intense de fin de semaine. La mère s'est déjà retournée face à la route à la recherche de quelque chose dans son sac de voyage. Je suis étonné mais visiblement Antoine ne l'est pas. Il regarde la couche puis me présente ses fesses relevées, la tête détournée pour ne pas croiser mon regard. Je déplie la couche et la glisse sous ses fesses. Son sexe se relève au moment ou j'arrive à rabattre la couche. Dès que les scratchs sont fixés, Sandrine qui vérifie tout ce que je fais dans le rétro, me passe un body en laine m'expliquant que je dois l'enfiler par la tête puis les bras avant de le boutonner sous la couche.
- Antoine aime bien avoir chaud, remettez lui son col roulé sur son body et voilà une gigoteuse pour lui ! Nous n'aurons plus à le déranger jusqu'à l'arrivée au chalet. On a plus à s'arrêter comme ça !
Zut, je viens juste de boire la bouteille d'eau dans la voiture, j'ai envie de faire pipi et je ne sais pas si je vais pouvoir tenir toute la nuit. Je glisse les jambes de ce garçon en couche dans sa gigoteuse et tire la fermeture éclaire jusqu'au cou.
- N'oubliez pas de l'attacher ! Merci de vous occuper maintenant de Zoe.
Je me tourne vers Zoé. Elle a un visage d'ange plein de taches de rousseur. Ses yeux semblent supplier sa mère.
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J'écoute ma musique, maman, je n'ai pas besoin de me changer je suis assez grande pour rester habillé pendant le voyage.
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Pas question, dit Sandrine, le voyage va être long, tu sors de l'école, tu es fatiguée, Solène va aussi te préparer pour la nuit. Solène, s'il vous plait aidez la à retirer sa jupe.
Le ton est ferme, je m'exécute lentement, Zoé a presque mon age, mais je suis la baby sitter. Je l'aide à enlever sa jupe plissée pour découvrir de fins collants de laine bleu clair recouvrant de longues jambes.
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Mais je peux rester habillé quand même ! Je suis plus grande qu'Antoine Maman.
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Je le sais mais Solène est là pour s'occuper de vous, je veux que tu puisses toi aussi dormir tranquille pendant le voyage. Tu seras plus à l'aise.
Je commence à l'aider à baisser son collant et m'aperçoit que les fesses de Zoé sont nues sous son collant.
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Mais tu n'as pas mis de culotte ce matin remarque sa mère qui surveille tout ce que je fais.
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Non j'ai oublié de mettre une culotte ce matin.
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Zoé mais qu'est ce que ça veut dire enfin ? Tu n'as pas mis de culotte ? Solène, mettez lui aussi une couche et remontez ses collants dessus.
Zoé me regarde furieuse, le collant baissé sur ses jambes, je remarque son pubis lisse comme un bébé. Je glisse la couche que viens de me tendre sa mère sous ses fesses, puis referme un à un les scratches avant de lui remonter son collant sur son change puis sur son pull. Sa mère me passe alors une grenouillère blanche à sa taille. Je n'arrive pas à le croire c'est exactement le baby gros que portait mon petit frère à la maison. On enfile les jambes qui se finissent par des chaussons, ça moule la couche serrée puis on passe les bras un par un avant de se boutonner dans le dos. Voilà Zoe, maintenant serrée dans sa couche en lainée des pieds à la tête, emmaillotée comme un bébé dans une grenouillère blanche. Les larmes silencieuses perlent dans les yeux de Zoé.
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Zoé tu as un début d'angine, il faut te couvrir d'autant que le chauffage de la voiture ne marche plus ! dit Sandrine en me passant une cagoule en laine fine gris clair.
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Non maman pas ça ! sanglote Zoé.
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Zoé il n'est pas question que cette angine se transforme en otite.
Je n'en reviens pas, mettre une couche à une fille aussi grande m'étonne vraiment mais le ton autoritaire de Sandrine ne me laisse pas le temps de m'interroger. Je replace les écouteurs blancs dans les oreilles de Zoé, attrape la cagoule en laine, l'écarte pour l'enfiler délicatement sur la frimousse de Zoe. La cagoule en laine est pile à sa taille. Je lui passe son iphone. Je n'ai pu qu'à harnacher Zoe avec la ceinture de sécurité avant d'éternuer, je grelotte, c'est vrai qu'il fait vraiment froid dans cette voiture.
Chapitre 2
Je m'accroche moi-même et me tourne pour voir d'un coté Antoine emprisonné dans sa gigoteuse. Il s'est tourné vers la glace le pouce dans sa bouche. Je ne vois de l'autre coté que la cagoule de Zoé qui boude en silence engoncée dans sa couche comme son frère. Je retends ma jupe sur mes cuisses nues et remonte mes chaussettes sur mes genoux. « Ah atchoum ! » Je n'arrête pas d'éternuer. J'ai l'impression qu'à chaque éternuement je mouille ma culotte blanche de quelques gouttes ! Ce voyage risque d'être éprouvant pour mes nerfs.
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Sandrine, notre baby sitter est en train de s'enrhumer.
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Oui tu as raison chéri, je vais trouver des affaires de Zoé pour Solène, je ne veux que ma baby sitter soit clouée au lit ! Enlevez votre kilt et vos chaussettes, je vais vous passer un collant de laine de Zoé, vous avez presque la même taille.
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Non ce n'est pas la peine. Je vous remercie.
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Faites ce que je vous dis ! Tout de suite ! Ne discutez pas !
Sandrine se retourne vers moi au moment ou détachant ma ceinture, ma mini jupe est remontée laissant apparaître ma culotte mouillée.
- Mais qu'est ce que c'est que ça ? Vous êtes toute mouillée, votre petite culotte est trempée, enlevez ça tout de suite !
Aussitôt Sandrine se retourne avec des lingettes. Je suis dans un cauchemar, je n'ose imaginer qu'on veuille moi aussi me mettre une couche à mon âge.
Sandrine m'aide à faire glisser ma culotte blanche, sort une couche de son sac et la passe sur la banquette, la déplie et me demande de me positionner dessus.
- Levez vos fesses ! Vous serez bien protégée avec ça entre les jambes. Il faut juste bien vérifier que la couche est adaptée à vos jambes, dit elle en passant ces doigts le long des barrières anti fuite. Je vais maintenant vous passer un collant de Zoe.
Zoé s'est retourné vers moi pour assister au spectacle de sa mère m'aidant à attacher les scratches. C'est le monde à l'envers. Sandrine commence à m'enfiler par les pieds un collant de laine blanche épaisse qui petit à petit vient recouvrir les fesses rembourrées de sa baby Sitter ! Je n'ai pas le temps de souffler qu'elle m'enfile par la tête un col roulé blanc en laine qui vient recouvrir ma poitrine. Comble d'humiliation, elle me passe maintenant, comme pour Zoé, une cagoule blanche qui se glisse sur ma tète.
- Avant de vous accrocher avec la ceinture, merci d'enfiler aussi cette cagoule à Antoine.
J'obéis, j'enfile la cagoule sur la tête d'Antoine, je m'accroche, je n'ai pas mis de couche depuis l'âge de cinq ans. Mes jambes écartées par la couche énorme flottent devant moi. Je me réchauffe petit à petit. La ceinture de sécurité vient compresser ma couche. Je retrouve la sensation de protection de la ouate et du coton de la couche de mon enfance, le tout compressé par la ceinture de sécurité et le collant de laine. De chaque coté de moi Antoine et Zoé me regardent.
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Vous êtes adorables comme ça tous les trois avec vos cagoules dit Sandrine, Solène vous savez si vous n'avez pas emmené assez d'affaires hiver je vous passerais ce qui faut au chalet. Fred tu les vois dans le rétro, on dirait que nous avons trois enfants !
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Mais moi je suis la baby Sitter, pourquoi me mettez vous une couche ?
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Mon mari est maniaque avec le cuir de la banquette ! et puis tout simplement parce que c'est pratique quand on peut plus se retenir. Visiblement vous vous êtes déjà laissé aller en commençant à mouiller votre culotte...
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Cela ne m'est jamais arrivé.
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Ne vous inquiétez, vous n'êtes pas la seule dans ce cas, Antoine je suis sure aura mouillé la sienne avant d'arriver au chalet !
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Mais je n'ai pas mis de cagoule depuis des années.
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Depuis combien de temps ?
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J'étais en sixième.
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Vous aviez quel âge en sixième ?
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11 ans.
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Vous voyez ce n'est pas si loin. L'hiver Zoé porte un bonnet de laine et des moufles et parfois elle me demande elle-même une cagoule qu'elle met sous son bonnet pour aller faire du vélo. Par contre si les notes ne sont pas bonnes, je l'oblige à mettre la cagoule blanche pour aller en classe en guise de punition. Pour Antoine il n'a pas le choix, il met une cagoule en hiver pour aller à l'école et à la piscine.
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Oui mais moi je ne mets plus de couche, dit Zoé, qui vient d'éteindre son iphone.
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Oui, tu as raison, les couches c'est uniquement pour les voyages et le ski !
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Pour les voyages et le ski ?
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Vous allez voir notre chalet est très à l'écart des maisons en pleine montagne. Nous venons de commencer les travaux, il n'y a pas encore de chauffage à part la cheminée, et l'eau est coupée. Il n'y a donc pas de toilette. Voilà pourquoi au ski c'est couche et cagoule !
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Mais Antoine met encore des couches à son âge ?
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Oui il en a encore besoin la nuit et apparemment il n'est pas le seul !
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Je ne comprends pas !
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Ce n'est pas grave, maintenant essayez de dormir !
Moi qui étais super contente d'aller surfer dans la neige demain, je ne m'attendais pas à faire le voyage en couche. Je sens une douce chaleur envahir ma couche, je ferme les yeux. La cagoule bleue de Zoé vient de se poser sur mon épaule, elle finit par s'endormir blottie contre moi la main sur ma jambe collantée. Sandrine me regarde dans le rétroviseur au moment où j'éternue de nouveau fort laissant passer un jet dans ma couche. Là je ne peux plus me retenir. Je ré éternue laissant cette fois ci le pipi envahir ma couche comme une délivrance. Le chaud liquide se répand dans la couche, mes deux jambes écartées par la couche. Je passe ma main sur mon entre jambe. Heureusement il n'y a pas de fuite.
Chapitre 3
Je somnole bercée par le rythme du moteur. Antoine et Zoé ont l'air de dormir comme des anges. La voiture ralentie avant de s'arrêter dans une station essence. Les pneus crissent doucement sur le sol enneigé. Plusieurs conducteurs de voiture mettent des chaînes à leurs pneus. Il neige abondamment. Je me rappelle tout d'un coup que je suis la baby-sitter. Une masse ouateuse écarte mes jambes enveloppées dans des collants de laine. Je porte une couche. Je suis en charge de deux enfants. Nous sommes tous les trois protégés par des couches, et je ressemble de taille à Zoé.
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Sandrine il faut vraiment que j'aille aux toilettes.
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On s'est arrêté pour mettre les chaînes. Le chalet n'est plus qu'à 2 heures de route. Venez, je viens avec vous, on va voir s'il y a des toilettes.
Nous nous dirigeons vers la station, le sol crisse sous mes pas. La neige n'arrête pas de tomber, il doit faire quelques degrés en dessous de zéro. Je suis en collant et en doudoune. Sandrine m'a noué dans le dos, en plus de la cagoule blanche, une écharpe autour du cou. J'ai du mal à marcher avec le paquet que j'ai entre les jambes. J'ai l'impression que tout le monde fixe mes fesses moulées dans mon collant de laine blanche. Devant les toilettes la queue des adultes me fixe. Une saleté repoussante et une odeur nauséabonde nous obligent à faire demi tour.
Avant d'ouvrir la porte de la voiture, Sandrine me demande de baisser mon collant de laine. Elle veut vérifier de ses doigts l'état de la couche et l'adhérence à mes cuisses. Chacun peut me voir, dans le parking, en doudoune, le collant sur les genoux, couche sur les fesses.
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Solène, votre couche semble déjà un peu mouillée.
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Oui je sais, j'ai trop envie de faire pipi !
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Ça tiendra bien jusqu'au chalet.
Sandrine me remonte le collant au moment où j'éternue de nouveau fort laissant passer un jet dans ma couche. Là je ne peux plus me retenir. Je ré éternue laissant cette fois ci le pipi envahir ma couche comme une délivrance. Le liquide chaud se répand dans la couche. Je passe ma main sur mon entre jambe. Heureusement il n'y a pas de fuite.
- Rentrez vite dans la voiture Solène, vous êtes en train de prendre froid.
Sandrine me rattache avec la ceinture. La couche a l'air de tenir. Elle s'est gonflée et semble peser sur mon collant de laine. J'espère qu'elle va tenir. Elle me retire l'écharpe nouée autour de mon cou mais avec ses doigts tire la cagoule serrée sous mon menton pour la placer sur ma bouche. Fred a referme le coffre les chaînes installées. Antoine se réveille demande où on est. Je lui tends un biberon d'eau sucrée que vient de me donner Sandrine. Naturellement il vient caler sa tête dans ma poitrine engloutissant son biberon comme un bébé. Petit à petit je sens un plaisir nouveau m'envahir. La ouate de ma couche est humide et chaude, mes fesses sont au sec. Je pense que Sandrine ne s'est aperçu de rien, elle ne voit qu'une jeune fille donnant le biberon à son fils, son bébé, qui va se rendormir en tétant son biberon.
Elle ignore juste que sa baby-sitter, elle aussi, vient de mouiller son change !
Chapitre 4
Dans le silence de la nuit, les phares éclairent la neige qui tombe. Les portes de la voiture sont grandes ouvertes. J’entends les pas de Sandrine crisser sur le sol enneigé.
- Solène réveillez vous. Mon mari vient de monter les enfants. Je vous emmène, dans votre chambre.
Je m’extirpe de la voiture le collant alourdie par la couche. Je monte l’escalier, devant la mère de Zoé, avec une démarche de canard.
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Sandrine …où sont les toilettes ?
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La maison est en travaux, les toilettes ne fonctionnent pas. Voilà votre chambre.
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Vous pouvez utiliser le pot de chambre si vous voulez. J’ai mis dans ce placard vos vêtements et tout ce dont vous pouvez avoir besoin. Mettez vous vite sous la couette et dormez bien. Vous vous occuperez d’Antoine demain matin. Bonne nuit dormez bien.
Je suis gelée, incapable de bouger. Sandrine vient de me laisser seule dans ma chambre. Je décide de me déshabiller. Je baisse mon collant sur mes chevilles, laisse tomber la couche trempée sur le sol. Fatiguée, je suis prête à me glisser nue sous la couette.
J’ouvre l’armoire. Mes affaires sont bien là rangées au milieu de pile de couches de toutes tailles, de body, de culottes en laines, de collants, pulls et grenouillères grandes tailles. Je découvre un body cagoule de laine de l’armoire presque similaire à celui que j’ai enfilé à Antoine dans la voiture. Je ne peux résister à l’essayer. J’enfile les bras comme un pull, glisse la tête dans la cagoule redescend le body sur mes fesses nues au moment ou Sandrine rentre dans ma chambre.
- Ah je vois que vous avez déjà trouvé un body à votre taille !
Je suis rouge de honte dans ma cagoule de me faire surprendre dans cette tenue. Je ne sais quoi dire ci ce n’est que ce body est agréable à porter.
- Il faut maintenant le boutonner entrejambe. Vous voulez, j’imagine, aussi mettre une couche avec ce body ?
Je suis incapable de dire non. Aucun son ne sort de ma bouche.
- Alors allongez vous, soulevez vos fesses, je m’occupe de vous, je vous remets une couche épaisse et je la double par une couche droite pour cette nuit. Voilà le change est bien en place. Je boutonne votre body, cela va maintenir le change. Je vais même en plus vous passer votre collant de laine pour que vous n’ayez pas froid. Vous allez faire de beaux rêves !
Il fait nuit. Je ne sais pas si je suis dans un rêve. Je ne sais plus quel âge j’ai ni où je suis. Il doit bien faire en dessous de zéro dans ce chalet je n’ai pas d’autres choix que de dormir.
Au matin, le bruit de voix répétant mon prénom m’oblige à sortir de mon rêve.
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Solène réveillez vous ! Solène, je pars skier avec Zoé merci de vous occupez d’Antoine.
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Maman tu as vu Solène elle dort dans un body ! C’est toi qui lui as passé ?
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Non, non c’est elle qui a voulu le mettre.
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Tu lui as aussi mis une couche ?
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Ca suffit maintenant Zoé occupe toi de tes affaires va te préparer !
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Pas d’inquiétude Solène, je vais déboutonner votre body. Faites votre toilette avec les lingettes. Changez vous et occupez vous d’Antoine. Donnez lui son petit déjeuner et emmenez le dehors mais couvrez le bien, il a mal dormi à force de tousser, je vous ai tout préparer à toute à l’heure.
Je vis un rêve éveillé ou un cauchemar ? Je viens de me faire réveiller par la mère et l’un d’un des deux enfants dont je suis censé m’occuper. Apres ma toilette j’enfile mon pull, mes chaussettes hautes et mon kilt et me dirige vers la chambre d’Antoine. Celui ci est réveillé un biberon de chocolat dans la main. En me voyant, Antoine me tend son biberon pour que je lui donne. Je commence par le délivrer de sa gigoteuse. Il se retrouve, jambes nues, habillé de son body et du col roulé que je lui ai mis dans la voiture.
- As tu besoin que je te change ?
Antoine me fait non de la tête - Maman t’a changé ?
Pas de réponse sauf un oui des yeux.
- Tu veux que je te donne ton biberon ?
De nouveau Antoine acquiesce du regard.
- Viens sur mes genoux.
Antoine sur mes genoux se concentre sur la tétine ses yeux fixés sur le biberon. Sa main s’est placée contre mon sein. Avec son doigt il titille mon téton à travers la laine de mon pull. Cela commence à m’exciter. Mon regard se pose sur la chaise à coté du lit ou la mère d’Antoine a laissé ses instructions sur un papier écrit à mon attention.
« Antoine a toussé toute la nuit. Lui donner son biberon. Le changer et lui mettre deux suppositoires si pas fait caca. Ai préparé ses affaires sur la table »
- Antoine on va aller dehors faire une bataille de neige. Mais d’abord il faut s’habiller.
Sans lui donner le choix de réagir je l’installe sur le lit, ouvre les scratchs, et commence à le nettoyer avec les lingettes. Il semble aimer ça. Je le retourne et me sers du lait pour lui glisser entre les fesses les deux suppositoires. Je lui glisse de nouveau une couche et l’habille chaudement selon les instructions : collant et body de laine, col roulé, gros pull, cagoule en laine et pour finir une combinaison qui le transforme en bibendum prêt à affronter la neige. En avant pour une partie de boules de neige. Antoine commence à me bombarder littéralement de boules de neige. Je ris trop pour arriver à viser correctement ce garçon qui n’hésite pas à me bousculer et me faire manger la neige. Allongée dans la poudreuse je sens tout d’un coup son emprise se relâcher comme si la paralysie le gagnait. Je comprends vite que les suppositoires viennent de libérer ses sphincters; je me dégage sauvée par l’explosion de ses intestins dans sa couche que je vais devoir lui changer. Antoine honteux s’est remis debout la couche bienremplie. Il est temps de rentrer au chalet.
Chapitre 5
Sandrine et Zoé viennent de rentrer du ski harassées. Mère et fille semblent éreintées maisravies par leur après midi de ski.Devant la cheminée je suis en train de jouer avec Antoine une partie de mille bornes. Nous sommes par terre, l’un en face de l’autre, devant le feu qui crépite, en petite culotte et en chaussette. Je suis la baby-sitter mais j’espère bien quand même aller surfer demain. Pourtant je sens une sortede reproche dans le regard noir que me lance Sandrine la mère d’Antoine et Zoé.
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Comment ça s’est passé Solène avec mon bébé cet après midi ?
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Vous voulez parler d’Antoine ?
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Oui…Très bien, nous nous sommes bien amusés, on a fait une sacrée bataille de boules de neige !
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Suivez-moiSolène, je dois vous parler ! Que les choses soient bien claires, il n’est PAS question devousbalader en petite culotte et en chaussette dans le chalet. Je vous rappelle que vous êtes la baby-sitter en charge de mes deux enfants. J’ai l’impression d’avoir un troisième enfant avec vous. Suivez moi ! Vous devez montrer l’exemple aux enfants. Je n’ai aucune envie de voir ma fille Zoé déambuler en culotte ou en minijupe à son âge dans le chalet, pourquoi pas en string pendant qu’on y est ! Alors maintenant allongez vous, enlevez votre culotte, je vais m’occuper de vous. Ce soir nous allons à la messe de minuit dans une petite église en montagne alors je dois vous équiper, je vais vous passer une crème épilatoire. Je ne suis vraiment pas contente, pour la peine, vous serez habillé comme Solène que cela vous plaise ou non.
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Mais je n’aipas 14 ans moi !
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Et alors,hier dans la voiture vous n’aviez pas l’air d’avoir 18 ans n’est ce pas ? Nous allons tous devoir marcher cette nuit dans la neige, peut être dans la tempête ou le vent pour avoir une place à l’église qui sera ce soir archi bondée pour la messe de minuit. Je préfère vous équiper tous les trois, la soirée sera longue. De toute façon vous allez faire de que je dis. Ne discutez pas, je reviens vous nettoyer et vous langer dans quelquesminutes. En attendant, interdiction de bouger, dès que j’en aurais fini avec vous, vous vous occuperez des enfants.
Vingt minutes plus tard je suis prête, épilée, crémée, langée. La protection de la couche ouatée me fait des fesses énormes d’autant que la mère de Zoé m’a obligé d’enfiler un body de laine serré et boutonné sous la couche sur laquelle j’ai du enfiler non pas un mais deux collants de laine blanche sans oublier un gros col roulé. Pour finir j’ai eu le droit à enfiler une jupe plissée, grise et à bretelle et j’ai du chausser les grosses chaussures de cuir de montagne.
C’est dans cette tenue que j’arrive dans la chambre d’Antoine où sa mère range ses affaires.
- Changez Antoine. Les affaires sont sur le lit. Allons y ! Dépêchez vous, nous avons des invités ce soir, mon père et ma mère vont passer diner avant de partir avec nous à la messe.
Je m’exécute. Antoine, a déjà enlevé sa culotte attendant visiblement que je m’occupe de lui, la couche est déjà préparée sur le lit avec les lingettes. Le lange scratchée, je lui enfile un body de laine, les collants avant de lui passer sa culotte anglaise de flanelle grise elle aussi avec brettelles croisées.
Zoé me voit ensuite arriver dans sa chambre étonnée par ma tenue de petite fille modèle.
- Mais Solène c’est quoi ce que tu portes ? C’est ma robe ?Ne me dis pas que tu portes une couche ? Hé Maman je ne veux pas mettre uneprotection. Je suis trop grande, j’ai 14 ans !Hurle Zoé - Zoé tu feras ce qu’on te dit un point c’est tout. Laisse Solène t’habiller, c’est elle la baby-sitter !
Dix minutes plus tard nous descendons l’escalier moi devant, Zoé furieuse dans mon dos en jupe grise et collants de laine, Antoine derrière. La situation est humiliante, le bruit de nos couches s’entend à chaque marche que nous descendons. Devant la cheminée Sandrine discute avec les invités.
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Oh mais on dirait que la famille s’est agrandi, il me semble ! dit la mère de Sandrine.
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Oui maman je te présente Solène la baby-sitter des enfants.
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Bonjour Solène, c’est incroyable on dirait que vous êtes la sœur jumelle de Zoé ! Antoine vient me faire un bisou, mon bébé. Je vois que ta nounou t’abien protégé pour la soirée, dit la grand-mèretout en tapotant de la main la culotte rebondie d’Antoine. C’est bien. Et toi Zoé viens me voir ma chérie. Mais non ta jupe et tes collants sont parfaits, je t’assure, ils ne font pas du tout petite fille. Mais oui ta mère a raison de vouloir t’habiller de la sorte, la nuit va être longue ! Vous êtes tous les trois adorables dans cette tenue !
Le souper constitué de sandwich, lait chaud, soupe et thé à volonté est rapidement avalé. Sandrine revient les bras charge d’anoraks et de combinaisons de ski. J’enfile celle d’Antoine. C’est sure qu’avec un body deux collants un pull et une culotte à bretelle, et la combinaison il n’aurait aucune chance de pouvoir aller aux toilette, je comprends maintenant la nécessité de la couche bien épaisse. A la demande de sa mère, je passe au dessus de la combinaison d’Antoine un harnais de cuir bouclé dans son dos qui va me permettre grâce à la laisse de le contrôler dans ses mouvements.Je passe ensuite à Zoé sous la surveillance de la mère et la grand-mère. Elle est en train d’enlever sa jupe plissée, le body est déboutonné. Je l’aide à remonter ses collants sur la couche avant de reboutonner le body de laine puis de passer les bras dans cette combinaison qui maintenant lui serre les fesses moulées dans la combinaison.
- Venez me voir Solène maintenant, je vais vous aider !!
Je me retourne vers la mère de Zoé qui commence à baisser mes deux collants pour passer son doigt entre les plis de la couche et mes cuisses et cela devant les invités.
-
Est ce que cette couche n’est elle pas trop serrée ? Je vois que vous n’avez pas mis de culotte plastique.
-
Non je n’ai pas mis de culotte plastique, ce n’est pas nécessaire !! Je m’entends répondre cela comme si j’étais une petite fille !!
-
Bon c’est parfait, je vais juste bien boutonné le body, penchez vous voilà je remonte maintenant au dessus de la couche vos collants. Voilà cela ne devrait plus bouger. Vous pouvez enfiler la combinaison et n’oubliez pas les moufles et les cagoules. Allez on est parti pour affronter la tempête de neige.Je vous assure qu’aprèscelavousallezbien dormer cettenuit !
Chapitre 6
Il fait nuit. Je ne sais pas si je suis dans un rêve mais je suis allongée, coincée dans une grenouillère en laine. Je ne sais plus quel âge j’ai ni où je suis. Il doit bien faire moins de 10° dans ce chalet je n’ai pas d’autres choix que de dormir. Je ne peux pratiquement pas bouger. La grenouillère est tendue par le pull, le collant et la couche. Je me rappelle que nous sommes rentrés dans la nuit après la messe de minuit. Zoé, dans son sommeil, vient de remuer et de se retourner contre moi. Nous sommes dans le même grand lit. Je me demande si elle ne fait pas semblant de dormir. Elle se sert contre moi, écarte ma cagoule, embrasse mes lèvres. Je ne rêve pas, je suis bloquée dans ma grenouillère, les jambes écartées par une couche, à coté de Zoé dont je suis censé m’occuper ! Je suis la baby-sitter. Cette gamine vient de m’embrasser, de glisser ses doigts sous ma cagoule avant de me souhaiter bonne nuit et de plonger dans les bras de Morphée. Où suis-je ?
Cette fois je m’éveille d’un lourd sommeil. La neige tombe derrière la fenêtre. J’aperçois Zoé avec sa frimousse je me réveille avec en face des yeux un visage plein de taches de rousseur et des yeux verts qui me regardent sortir de mon sommeil. Je me rappelle nous trois, cote à cote dans l’église. Zoé est penchée sur moi, sa grenouillère a disparue. La couche aussi, ses fesses sont justes recouvertes par son collant bleu clair. Son pull marine lui laisse le nombril à l’air. Adieu la cagoule. Ses cheveux sont en liberté, les manches de son pull remontées au dessus des coudes. Zoé est vraiment mignonne mais semble m’observer avec une idée derrière la tête.
- Bien dormi bébé Solène ? Ah oui c’est bête tu ne peux pas te déshabiller toute seule ! J’avais oublié. C’est vraiment stupide !
En disant cela, Zoé vient d’un bond de sauter à califourchon sur mon ventre s’agitant vigoureusement en se basculant sur ma vessie. Elle en profite, me chatouille. Je ne peux m’empêcher de rire ! Mais je me rends compte vite que je dois subir l’assaut de Zoé. Je suis prisonnière de la grenouillère en lainée des pieds à la tête, incapable de bouger. Ce qui doit arriver arrive, je peux plus me retenir, je viens de me lâcher dans ma couche. Une douce chaleur se répand alors entre mes jambes, une sensation de délivrance.
- Arrête Zoé s’il te plait ! Arrête, Arrête tu me fais faire pipi !
Zoé se penche sur ma cagoule, la tire sous mon menton m’embrasse :
-
Non, bébé est en train de mouiller sa couche ? Heureusement Zoé est là pour s’occuper de bébé Solène.
-
Zoé Libère moi, arrête, c’est plus drôle. Je joue plus. Ne dis rien à tes parents. - Qui parle de jeu ? Je veux bien arrêter mais à une condition ! - Laquelle ?
-
Aujourd’hui c’est moi la baby-sitter, la condition : tu m’obéis sur tout d’accord j’ai dit sur tout ?
-
D’accord mais arrête de me chatouiller ! Ok je t’obéis… Mais ne dis rien à tes parents !
-
Promis. Viens bébé, retourne-toi que je déboutonne. Voilà enlève tes bras, je te libère Voilà. Oh dit donc la couche a l’air bien remplie ! Non, non, non, tu gardes la cagoule pour le moment. Tu gardes aussi ta couche. Je te changerai plus tard. Cela ne t’empêchera pas de faire du surf mais tu dois rester bien couverte toute la journée. Allez viens avec Zoé, on va prendre le petit déjeuner.
C’est à ce moment que Sandrine nous interpelle :
-
Alors les filles, ça y est vous êtes réveillées ? Vous pouvez descendre !
-
Oui Maman on arrive hurle Zoé en finissant de m’enlever ma grenouillère. L'heure est venue de descendre toutes deux en collant au petit déjeuner. Je suis la baby-sitter et je dois descendre avec ma couche mouillée !
Sandrine nous accueille dans la cuisine.
- Alors les filles comment allez vous ? bien dormies ? Vous n’avez pas eu trop froid cette nuit Solène ? Tenez je vous ai fait des bols de laits chauds. Zoé occupe toi de Solène s’il te plait. Mangez bien je vous emmène skier toute la journée. Alors prenez des forces, Papa nous rejoindra au refuge avec Antoine. J’ai préparé vos affaires dans votre chambre.
Effectivement je découvre mon pantalon et mon anorak mais à la place de mes sous-vêtements Sandrine a remplacé des vêtements que je ne connais pas : un change complet garni, un body en laine rose manche longue qui se finit par une cagoule en laine ainsi que deux collants, des moufles, une écharpe en laine.
-
Mais ce n’est pas mes affaires !
-
Chut mon bébé, du calme, ta baby-sitter est là mon bébé, viens que je te déshabille.
-
Regarde maman a laissé des lingettes pour que je te nettoie.
J’en reviens pas Zoé me retire ma cagoule, m’embrasse, fait glisser mon collant, m’allonge en enlevant mon pull. Je suis à sa merci, poitrine à l’air nue comme un ver. Ses doigts attentionnés s’appliquent à nettoyer mon pubis, ses lèvres embrasse mon ventre.
- Soulève maintenant tes jolies fesses mon bébé, maman va glisser la couche, je vais même rajouter même à l’intérieur une deuxième protection. Si si c’est nécessaire ! Voilà je ferme bien les scratchs. Lève toi maintenant, oui je sais ça fait un gros paquet entre les jambes, mais comme ça tu seras bien protégé mon bébé. Viens on va mettre maintenant le body rose à manche longue d’abord la tête, les bras, je tire sur le body et je ferme les boutons sous la couche. Ca y est. Oui voilà je sais la cagoule est un peu serré mais comme ça tu ne pourras pas l’enlever. Maintenant enfile le collant de laine, rajoute le gros pull en laine, enfile ton pantalon de surf et ton anorak. Bon je m’habille et je te rejoins. Descend voir mon père pour qu’il te règle ton surf.
Je descends voir le père de Zoé.
-
Solène, essayez ces chaussures je vais vous régler votre surf ?
-
Qu’est ce que fait Zoé ?
-
Elle est en train de finir de s’habiller, elle arrive !
Je choisis mon surf quand Zoé arrive elle semble toute fine dans son pantalon et son anorak. Elle a sur la tête mon bonnet Péruvien et mes lunettes de soleil sur le front. Elle me regarde droit dans les yeux. J’ai l’air d’être l’enfant elle l’adulte, je vais l’attraper quand le regard de son père me retient.
Solène, qu’est ce que c’est que cet accoutrement ? Sandrine avait tout préparé.
-
Papa je me suis habillé comme maman voulait, j’ai juste emprunté le bonnet et les lunettes de Solène, elle est d’accord - Ce n’est pas à toi que je parle Zoé, C’est vrai Solène ? » - Je fais oui mollement de la tête.
-
Eh ben moi je le suis pas du tout. Zoé Enlève-moi ce bonnet tout de suite. Solène allez me cherchez tout de suite les affaires. Tout de suite, Merci !
Je m’exécute. Je reviens avec écharpes, cagoules et moufles. Fred enfile sur la tête de sa fille sa cagoule bleu clair puis me prend des mains la blanche et me l’enfile sur la mienne déjà encagoulée de rose. Il nous noue alors autour du cou dans le dos, chacune, une écharpe écossaise. Zoé me regarde furieuse, nous avons l’air de deux gamines.
- Allez en avant à nous les pistes ! Dit-il en me poussant mes fesses garnies.
J’avance en canard comme un bébé mon surf à la main. Zoé marche en courant elle n’a pas l’air du tout gêné par sa couche. Je ne comprends pas car moi je suis incapable de courir. Je suis obligé d’avoir une démarche ralentie d’une jambe sur l’autre.
- Allez les filles grouillez-vous on est parti !
Chapitre 7
Apres 5 heures de surf sur piste nos sommes de retour épuisées au chalet. J’ai vraiment apprécié ma couche lors de mes chutes cette après midi. Une cheminée crépite à l’intérieur du chalet. Fred et Antoine nous attendent devant des chocolats. Venez les filles réchauffez vous, enlevez vos moufles et vos anoraks. Fred met à sécher nos gants devant la cheminée pendant que nous retirons nos cagoules.
-
Comment s’est passé le surf Solène ? Etes vous êtes mouillées les filles ?
-
Non,non tout va bien - Vous êtes sure Solène ? Viens me voir Zoé que je vérifie ton body.
Sandrine a déjà baissé le pantalon de Zoé. Elle passe sa main sur le collant.
- Mais tu n’avais pas mis de couche dit donc ?
Zoé est morte de honte devant moi. Le collant baissée, le body déboutonné, sa mère l’oblige à se coucher sur le tapis, sort un change complet de son sac à dos pour changer sa fille devant tout le monde. Aussi tôt fait elle remet debout zoé, fixe les boutons du body sous la couche avant de lui remonter collant et pantalon.
- A vous Solène venez ici. Je suis furieuse que vous n’ayez pas habillé convenablement Zoé. Vous êtes la baby-sitter ne l’oubliez pas. J’ai l’impression d’avoir trois enfants. N’est ce pas ? Vous serez punies toutes les deux ce soir.
Tout en parlant Sandrine commence à baisser mon pantalon et mon collant puis avec son doigt elle écarte le body pour sentir l’intérieur de ma couche.
C’est bon, votre change n’est pas mouillé. Asseyez vous buvez votre chocolat !
Zoé et moi sommes humiliées d’avoir été déculottées et changées en public devant Antoine. Il s’amuse de nous et lance des regards moqueurs. Deux grandes filles en couche buvant des chocolats.
Dès que vous avez fini, allez vous laver et vous préparer pour la nuit, j’arrive !
Nous obéissons comme deux gamines. Zoé m’a pris par la main. Elle m’aide à monter dans notre chambre. Ses mains caressent mon entrejambe dans l’escalier. Arrivée dans notre chambre, Zoé commence à descendre mes collants sur mes genoux. Je suis incapable de réagir comme saoulée par le surf et le grand air de la montagne. J’ai juste la force d’enlever ma cagoule. J’entends les scratches de la couche se détacher. Elle m’a allongé sur le lit et commence doucement à caresser mon ventre. Elle est toujours en pull. Je vois sa cagoule bleue se pencher vers mon sexe. Sa langue commence à caresser mon clitoris. Elle varie le rythme à me rendre folle. Elle redresse sa tête, me sourit puis fait demi tour pour me présenter son entrejambe en lainée sur ma tête. Je me retrouve tête bêche bouche écrasée contre son pubis recouvert par le collant. Sa langue est repartie à l’attaque de mon sexe. Je lui attrape ses fesses ouatées, la déculotte, lui arrache sa couche avant d’embrasser son sexe imberbe. J’essaye avec ma langue de faire comme elle. Nos mains vont et viennent sur nos fesses. Le plaisir monte. C’est à ce moment que Sandrine nous interpelle :
Alors les filles, ça y est vous êtes habillées pour la nuit ? Vous pouvez descendre !
Zoé s’est relevée pour attraper les lingettes, le talc et les changes. Occupe-toi de moi vite, on doit descendre rapidement. Je lange Zoé qui me regarde en souriant, lui enfile son col roulé. Elle fait de même avec moi sans s’attarder, les scratchs refermés serrés une nouvelle couche. L'heure est venue de descendre toutes deux en couche et collantées pour apercevoir devant la cheminée, à coté d’Antoine et de Sandrine, deux jeunes adolescents en tenue de surf.
-
Zoé tes cousins souhaitent vous emmener surfer demain. Malheureusement je leurs ai dit que vous étiez punies.
-
Oh maman s’il te plait laisse nous y aller.
La situation est humiliante, le bruit de nos couches s’entend à chaque marche que nous descendons. Sandrine se lève devant eux pour boutonner nos body sous nos couches puis nous enfile chacune notre baby gros boutonné dans le dos. Les cousins nous regardent comme au spectacle. Ils proposent à Sandrine de prendre soin de nous et de bien s’occuper de nous.
- On verra demain. Les filles sont fatiguées ce soir. Elles sont punies. Enfilez vos cagoules et maintenant vous embrassez tout le monde et vous allez au lit tout de suite sans diner
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